Il y a eu les religions.
Les fraises de grouchy.
Puis l'interdiction de l'absinthe.
Le premier Krash boursier.
Puis le virus du Sida.
Puis la fermeture des bordel.
L'holocauste.
La mort de Bob Marley.
La sortie du premier album de M. Pokora.
De tous ces evenements, toutes ces épreuves, l'Homme a appris, s'est parfois résigné, s'est toujours battu, en a tiré des leçons indispensables a son évolution de groupe, a son épanouissement en tant qu'etre.
Jusque la.
Nous somme confrontés a un probleme auquel l'humain n'a jamais été confronté. Un drame auquel nous ne sommes pas préparés, que les scénaristes de Lost ou Misfits (Fieu, cette série est sympathique !) n'avaient meme pas osé imaginer.
Une catastrophe, certes, qu'on apprécierait de ne voir que dans les production holywoodiennes, imaginé par le réalisateur de Saw et la folie de Hitchcock. Pas dans la vraie vie, non, nous, humains normaux, revons de pavillon en banlieue, de voiture de marque française dans la cour et de labrador nous ramenant le journal lorsqu'on rentre, voir de tromperie avec la secretaire ou l'assistante de direction de notre choix.
Ou si jamais on perd un proche.
Ou si on perd au Banco.
Ou si on perd la manne financiere qui finance le credit du pavillon, de la renault
dans la cour et du LOF du labrador.
Ou si on perd l'usage télévisuel.
Ou si on se fait prendre a causer a l'oreille du tanga de l'assistante de direction entre deux appels a "mamour" pour justifier son retard d'une réunion qui s'attarde
Par contre, l'Homme avec un grand H se voit confronté a un nouveau défi, tel le gladiateur dans l'arene face aux esclaves armés et au lions aux yeux injectés de sang :
Le "Daggering" augmenterait les factures du...
Que le dieu du slow nous protege
Les fraises de grouchy.
Puis l'interdiction de l'absinthe.
Le premier Krash boursier.
Puis le virus du Sida.
Puis la fermeture des bordel.
L'holocauste.
La mort de Bob Marley.
La sortie du premier album de M. Pokora.
De tous ces evenements, toutes ces épreuves, l'Homme a appris, s'est parfois résigné, s'est toujours battu, en a tiré des leçons indispensables a son évolution de groupe, a son épanouissement en tant qu'etre.
Jusque la.
Nous somme confrontés a un probleme auquel l'humain n'a jamais été confronté. Un drame auquel nous ne sommes pas préparés, que les scénaristes de Lost ou Misfits (Fieu, cette série est sympathique !) n'avaient meme pas osé imaginer.
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| Quoi ? Il est arrivé un malheur a L'humanité ? Viiiite, il faut que j'arrive a trouver un moyen d'ouvrir cette bouteille d'eau ! |
Une catastrophe, certes, qu'on apprécierait de ne voir que dans les production holywoodiennes, imaginé par le réalisateur de Saw et la folie de Hitchcock. Pas dans la vraie vie, non, nous, humains normaux, revons de pavillon en banlieue, de voiture de marque française dans la cour et de labrador nous ramenant le journal lorsqu'on rentre, voir de tromperie avec la secretaire ou l'assistante de direction de notre choix.
Ou si jamais on perd un proche.
Ou si on perd au Banco.
Ou si on perd la manne financiere qui finance le credit du pavillon, de la renault
dans la cour et du LOF du labrador.
Ou si on perd l'usage télévisuel.
Ou si on se fait prendre a causer a l'oreille du tanga de l'assistante de direction entre deux appels a "mamour" pour justifier son retard d'une réunion qui s'attarde
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| C'etait pas mon bite, j'te jure ! |
Par contre, l'Homme avec un grand H se voit confronté a un nouveau défi, tel le gladiateur dans l'arene face aux esclaves armés et au lions aux yeux injectés de sang :
"Hausse du nombre de fractures du pénis en Jamaïque à cause d'une nouvelle danse"
Le "Daggering" augmenterait les factures du...
Que le dieu du slow nous protege
La fracture du slow ça existe ?!
RépondreSupprimerPlus c'est lent plus c'est bon... fracture d'impatience ça pardonne pas !
OMG ! Vite un tango langoureux...
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